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Mon parcours à l'école
Jusqu'en CP ma mère m'a dis que je pouvais être
un enfant assez brutal
car je n'arrivais pas à réussir
ce que l'on me demandait de faire à l'école.
J'ai redoublé le CE1, car j'écrivais mal, des
deux mains et en confondant,
inversant certaines lettres proches.
Assez présents pour se rendre compte que je n'étais
pas bête
mais qu'il y avait un problème, mes parents
ont décidé avec l'école de me faire suivre
par des psychologues du centre médico-psycho-pédagogique
CMPP.
Enfant intelligent rien trouvé. En tout cas c'est
ce que ma mère m'a dit.
Comme j'étais fort en calcul, je n'ai jamais vraiment
ressentis de honte ou de moquerie. Physiquement avec 1 an de plus et
plutôt bagarreur, il ne fallait pas me chercher,
et c'était
moi le fauteur de troubles.
J'avais une certaines
agressivité et peu d'ami.
J'étais déjà différent
avec du mal à m'intégrer dans un groupe.
Je suis toujours resté autour de la 10 ième place environ
au niveau des notes
avec mes fameux zéro en orthographe
(car on
ne mettait pas de note négative au collège)
J'ai toujours aimé l'école avec l'objectif
de faire de mon mieux.
J'ai toujours eu un fort esprit de compétition
et l'envie d'être dans les premiers.
Ma motivation
je l'ai puisé aussi dans mon attirance pour les filles.
J'ai toujours été secrètement amoureux avec
l'envie de donné le meilleur de moi-même.
Ma curiosité naturel à été aussi
un moteur. J'aurais tellement eu envie de savoir
ce qu'avait écrie
en rédaction la première de la classe pour avoir un 16
alors que moi je n'ai jamais pu dépasser le 12.
Au collège, je me rappelle que pour faire une bonne place au cross annuel
j'avais récupéré dans une usine, a coté de ma grand mère, des morceaux d'acier
que j'avais cousu moi même, tout seul et en secret a différent endroit de ma veste pour la lester et améliorer mes performances.
J'ai tendance à m'associer a des models positif
comme les sportifs.
Le sport à été indispensable pour limiter mon tdah. (voir ce site)
avec le vélo et la natation ou mes parents m'ont inscrit au départ
pour mieux coordonner mes mouvements.
En seconde, j'étais évidemment obligé de m'orienter
du coté scientifique
même si mon niveau en math était
normal. Mais comme j'aime la biologie
direction première
S pour un BAC D (biologie).
Beaucoup de travail pour être dans une moyenne convenable.
Mais
finalement des bon résultats au BAC :
17 en bio 16 en physique
et 15 en math.
(Mais 8 en anglais coèf 3)
Direction la fac de science pour devenir prof de biologie.
Dur dur l'amphi
! J'ai eu la chance d'avoir mon cousin David qui a fait le
même DEUG.
Je lui ai demandé tous ces cours bien écris
et c'est grâce à cette astuce que j'ai pu suivre.
Impossible pour moi d'écrire vite, et de comprendre ce qui
ce dit en l'écrivant.
Comme j'ai tendance a inversé les
chiffre et les lettres entre eux .
J'ai toujours du avoir des « aide
mémoire » ce n'est pas que je n'apprenais
pas
mes formules ce que le professeur appelais le fameux «manque de
rigueur »
Mais j'ai vraiment souffert pour mémoriser tout le contenu
des cours.
Il n'était pas possible pour moi de continué en
licence.
La dyslexie c'est d'abords pour moi un gros problème
de mémorisation
et une lenteur de compréhension puis d'exécution. Personne ne m'a jamais di durant toute ma scolarité que
j'étais dyslexique.
Enfant, j'ai été en colonie de vacances et j'ai
des moments forts mais parfois
aussi douloureux d'exclusions. A
18 ans j'ai souhaité devenir animateur
et la formation du
BAFA m'a beaucoup apporter. J'avais un manque de maturité
et
d'affectivité (puisque peu d'ami) qu'il fallait
rattraper.
Durant toutes mes vacances d'été et hivers pendant
10 ans,
j'ai été animateur de centre de vacances
puis directeur.
Je ne sais pas si c'est une caractéristique
de la dyslexie.
Mais je ne suis pas sensible aux conventions sociales.
J'y ai appris à vivre en société, a être
plus ouvert aux autres.
C'est vraiment une belle école de
la vie. J'ai pu assouvir mes
premières envie de voyage en
dirigeant des séjours de vacances (colo)
en Ecosse, Norvège, Grèce, Corse ….
pour rire :
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